Arcachon a entretenu un commerce florissant avec l'Angleterre pendant des dizaines d'années, échangeant ses huitres, son bois, sa résine, le vin de Bordeaux contre du charbon pour ses bateaux armés à la grande pêche. Le bois de pin en particulier était très prisé, transformé en poteaux de mines. Un chargement attend ici sur le ponton de Claouey.
PS : Passer de la splendeur de la lumière des landes à la noirceur des mines anglaises est un destin que ne connaitra sûrement pas Sein DSK, en quête de reconversion, d’une part parce que ces mines n’existent plus mais surtout parce que, parité aidant, les « mineuses » auraient été en grand danger dans la pénombre de ces boyaux (ceux de la mine évidemment) |