Les choses étaient bien organisées en ce temps-là: il y avait d'un coté les riches, de l'autre les pauvres et les premiers donnaient au second. Que cela leur plaise ou non. Il y avait pour cela un Bureau de Bienfaisance qui percevait ses 5 % sur le prix des billets des spectacles. Cela s'appelait le "Droit des pauvres".
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